À l’occasion de la Semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes Handicapées (SEEPH), Radio Bouton a convié la MDPH à participer à l’émission « parlons-en » du mardi 15 novembre, retransmise en direct.
Dans le cadre de la semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes Handicapées (SEEPH), Thomas Lemaire, Chargé de mission « REVERSE » et Pascal Suquet, Référent insertion professionnelle dans l‘équipe d’évaluation des besoins de compensation à la MDPH, ont participé à l’émission de Radio Bouton intitulée « Parlons-en », diffusée en direct le 15 novembre 2022, pour une édition spéciale sur le thème « À quand le plein emploi pour les personnes handicapées ? ». Plusieurs partenaires étaient également invités, parmi lesquels Cap Emploi 08, l’AAPH, l’EDPAMS, l’IMPro de Boutancourt, EMMAUS CONNECT ainsi que l’Atelier Gourm’Hand.
Durant le direct, plusieurs débats ont été soulevés autour de l’emploi des personnes handicapées tels que le handicap mental, les ESAT pour les jeunes, l’obligation d’employer des personnes en situation de handicap dans une proportion de 6% de l’effectif total, mais aussi le Village Handi’Cap organisé par Cap Emploi et la Ville de Charleville-Mézières qui se tenait le lendemain. L’émission s’est clôturée par le témoignage d’un jeune usager qui a eu l’occasion de présenter son parcours à l’antenne.
« C’était très enrichissant de dialoguer avec nos partenaires dans un tel contexte, il est rare d’être réunis autour d’une table pour échanger nos points de vue. Passer à l’antenne n’est pas un exercice facile et la retransmission en direct encore moins, mais c’est très formateur ! Cela a permis de valoriser les initiatives locales et le dynamisme du territoire », explique Thomas Lemaire.
« L’insertion durable des travailleurs handicapés est compliquée, c’est pourquoi chaque partenaire à un rôle à jouer. Il était très intéressant de valoriser ce dynamisme à l’antenne. Nous vivons dans un petit territoire où l’insertion professionnelle reste complexe, cette émission a permis de démontrer notre engagement et le fait que la MDPH est présente pour l’usager », conclut Pascal Suquet.
